Une petite promenade...

Mayuko était partie ce matin même de l'auberge ou elle avait passée la nuit car elle était rentrée trop tard et l'école était fermée, donc ce matin là elle venait d'arrivée devant la porte d'entrée, elle avait traversée le hall et était partie en directions des couloirs.
Ah que ces couloirs étaient fascinants, tous froid et tous longs et impitoyable, quiqupnque ne connait pas les lieux sufisament ne devrait pas s'y aventuré au rique de s'y perdre!
Elle prit donc un couloir plutôt étroit et marcha longuement droit devant ses pas éclairés par la faible lueurs des quelques fenêtres et des torches dont les bougies étaient de plus en plus petites au fur et à mesures qu'elle s'enfonçait dans les profondeurs de ces lieux.Finallement le couloir se divisa en deux elle partie dans la direction de gauche le nouveau couloir quelle venait de prendre était moin étroit que l'autre, finallement dans un tournant vers la droite elle pouvait s'engageait dans un trou causé par on ne sait quoi, ce qu'elle savait c'est que la breche était sufisament grande pour qu'une personne d'âge adulte pas trop épaisse puisse s'y engageait!Sans même hestité une seule seconde elle penetra dans la breche et le noir fut complet, sans pour autant s'en inquiètter elle continua tout droit ralentissant tout de même le pase pour ne pas percutter un éventuel obstacle!
Elle aperçut une petite lumière pas bien loin, un sourir se traca sur ses levres, elle arrivait enfin à destination!
Elle s'arreta alors et avança doucement jusqu'a toucher le mur qui se trouvait en face d'elle, elle mit ses mains dessus et les promena jusqu'a trouver une petite bosse qu'elle pressa, le lueur (qui était un peu plus haute sur le mur) devint alors plus grande et une seconde breche s'ouvrit à partir de cette lumière en descendant doucement jusqu'a ce que Mayuko puisse resortir de cet endroit sombre.
Une foi sortie, la breche se referma et seul un petit trou causer par la vieillesse du mur resta, elle se trouvait maintenant dans une ancienne salle de classe, les burreaux était en bois et de nombreux grafitis y était insrcit, les quelques chaises qui restaient étaient en très mauvais états, les tables aussi étaient bien abimées mais moin que les restes de chaises!
Elle traverssa la pièce et monta sur l'estrade sur laquelle se trouvait le burreau du proffesseur qui enseignait jadis dans cette pièce, elle ouvrit justement un des tirroir du bureau et en sortit un cahier d'aspect miteux et très ancien.
Elle l'ouvrit et se mit à lire les quelques mots qui ont étaient écrits plusieurs années en arrière avec une écriture arrondie douce et lègère:

<< Dans le ciel noir et sombre j'ai vu ce soir lune, je l'ai vu briller de tous ces éclats, un magnifique spectacle que jamais je n'oublirais jamais, lune tu es ma vie si tu lis ces mots tu sauras qui te parle à travers tes rèves les plus secrets et le splus beaux. Lune, ma vie n'a jamais éte rien de plus que le néant et l'océan de tristesse était noir d'infâme sentiments, jamais un jour je n'aurais osé imaginer que tes rayons doux me laverais de toute ma négation. Lune, j'ai trouvée parmis la noirceur de mes pensées une lueur, une lueur d'espoir, un éspoir insaisisable et pourtant j'ai crut, oui j'y ai crut chaque jour, j'ai crut que tu deviendrais, et que tu viendrais me chercher. Chaque jours étaient plus difficile que le précedent car j'ai voulu espérer le bonheur, car j'ai oser esperer un peu de bien dans le néant qu'est ma vie, ma vie ou ma mort. Lune j'ignore qui es-tu vraiment, tu n'existe pas je le sait pourtant j'ai la pretention de te demandait d'exsiter, mais comment la pureté pourait preter attention au froid au mal au desepoir que je suis. Lune, moi qui ne suis rien d'autre que le pire des sentiments, j'ose te demandait même s'il faut pour cela subire la colère glaciale de tous ces demons et ces créatures de la nuit, j'ose, oui j'ose te demander pardon, mais je t'en prit ne l'accepte pas, accpetait un pardon venant de moi serait un pécher impardonable, reste pur. Lune reste pure, toi qui n'est qu'un rève, un rève d'homme, un rève beau et doux. Lune tu n'exsite que dans mes rèves, cela fait de toi mon meilleurs cauchemard. Lune chaque jours j'épere enfin ta venu, j'éspère mais au fond de mon coeur brisé et noir je sais que jamais tu me veras. Lune mes larmes sombre, mon coeur noir, mes sentiments de mort, malgrès ce que je suis je pense à toi. Lune je vais disparaître à jamais, penser à toi et un crime des plus horrible, je te fait du mal en voulant ton bien, c'est pour bientôt je ne serais plus ni de ce monde ni d'un autre, bientôt je ne serais rien qu'un souvenirs horribles si j'ai la chance d'être dans tes souvenirs.

Demain soir je te verais, tu rayoneras comme à ton habitude, mais ce qui changera c'est que je ne serais pas là, tu n'exsiteras donc plus, milles excuses.
Pardon d'avoir penser à toi, pardon de t'avoir dans mon esprit moi qui n'ai pas le droit d'ésperer quelque chose d'aussi pur que toi...

Lune, mes propos sont peut-être incomprhensibles pour toi, mais sache que ces mots te sont adresser essait tout de même de comprendre. Je ne t'embetterais plus à present, tout ce mal que j et'ai fait sera à jamais effacer en même temps que ma triste exsitance, oui demain quand tu te reveillera il aura tu bruit en ces lieux, ce bruit sera provoquer par tous les habitants de cette planetes, il diront tous: "il est partit" certain pleureront, tu t'éloignera de ceux-là, d'autres riront de soulagement, eux seront tes amis, d'autres encore découviront avec horreurs mes méfaits, tel que le pire d'entre eux est celui d'être venu au monde...

Lune je pense à toi, parmis ce ciel tu vera une petite étoile scintillante, je serais alors à tes côter pour toujours, et enfin je découvrirais ce sentiment qui m' ai était interdit, je vivrais à tes côter, au côter de la lune et je te verais d'en haut, je veillerais sur toi tel sera mon devoir pour éffacer petit à petit les traces du mal que j'ai causer...

Lune, je n'es plus de coeur, car tu à remplacer celui-ci, tu es celle qui me fait vivre [... ] >>

Mayuko ne termina pas sa lecture émouvante car elle venait d'entendre du bruit.

*Qui vient là? Je croyait pourtant que cet endroit n'avait jamais été découvert...*

Mais en même temps cette salle à bien dut être découverte par quelqu'un avant, qui n'a pas eu le plaisir de partir en exploration dans ces couloirs?
Toute personne curieuse est au moin passer par ces couloirs fallait-il encore ne pas être peureu et osait s'aventuré dans les profondeurs noirs du dernères couloir!
Mais peu importe, elle referma le cahier quelle lisait depuis le jour ou elle l'avait découvert chaque page contenait un récit, tous semblaient être écrit par la même personne, et cette même personne était un peu tout le monde et personne en même temps, c'était très étrange, mais Mayuko comprenanit ces textes par une relation entre le début de la magie et une importante découverte qui n'a pas été dévoilée...
Elle posa avec délicatesse l'ouvrage, très preciaux à ces yeux, dans le tiroir et le referma doucement.
Elle se precipita dans l'armoire en bois de chène, seul objet à peu près en état, et referma sur elle les porte de l'armoire, juste à ce moment des bruit de pas semblait provenir de quelqu'un qui entrait dans la salle...

» petite promenade^^ [pv Envy-Rinne]!
» Promenade en solitaire
» Petite visite